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Republique de Madagascar: evaluation intermediaire du projet de mise en valeur du haut Bassin du Mandrare (PHBM)

26 mayo 2000

Le Projet de Mise en Valeur du Haut Bassin du Mandrare (PHBM) est entré en vigueur à la fin du mois de décembre 1995 pour une durée de 5 ans. Le projet, au Sud de Madagascar, est financé par un prêt du FIDA d'un montant équivalent à environ 6,9 millions de USD. En octobre-novembre 1999, après environ 4 années d'exécution, une mission de revue à mi-parcours a été menée. Cette revue a souligné le taux élevé de réalisation et de réussite du projet par rapport aux objectifs fixés dans le rapport de pré-évaluation (RPE). Le Gouvernement de Madagascar a donc manifesté son intérêt pour une seconde phase qui permettrait de consolider les résultats acquis jusqu'à présent et d'étendre la zone d'intervention actuelle du projet : aux 4 communes rurales de Tsivory, Elonty, Mahaly et Marotsiraka, viendraient s'ajouter les 5 communes de Esira, Maromby, Tranomaro, Ebelo et Imanombo.

La proposition de seconde phase ayant reçu un accord de principe, la Division Afrique II a entrepris la conception et la formulation du nouveau projet. Conformément aux procédures du FIDA, une évaluation intermédiaire (EI) du PHBM devait donc être menée avant le lancement de la seconde phase. En conséquence, une EI a été effectuée sur le terrain du 12 avril au 16 mai.

L'approche du FIDA en matière d'EI consiste à: i) analyser si le projet a été mis en œuvre de manière satisfaisante; ii) analyser si les activités et les financements à sa disposition étaient les plus adaptés pour atteindre les objectifs assignés au projet; et iii) mettre l'accent sur la participation des différents partenaires du développement. Ainsi, les questions clés, auxquelles l'Évaluation intermédiaire du Projet de mise en valeur du Haut Bassin du Mandrare devait apporter des réponses, étaient les suivantes:

  • Qui sont les bénéficiaires du PHBM?

  • Quels ont été les principaux changements, constatés et vécus par les populations rurales, attribuables aux activités du projet?

  • Quel est le niveau d'organisation et de structuration du monde rural?

  • Quelles sont les recommandations exprimées par les bénéficiaires du projet pour lutter contre la pauvreté dans le cadre des activités de la seconde phase?

Selon l'approche du FIDA, il est également nécessaire que les partenaires clés qui ont conseillé la mission parviennent à un accord sur les principales conclusions de l'évaluation, recommandations et suites à donner. Les conclusions, recommandations et suites à donner ainsi convenues sont exposées ci-dessous.

Évaluation générale

Les réalisations physiques du projet les plus importantes jusqu'à fin mars 2000 sont la réhabilitation de 2 306 ha sur 29 périmètres irrigués, l'amélioration de plus de 102 km de pistes et routes, la construction ou la réhabilitation de 4 Centres de santé de base, la construction de 23 couloirs de vaccination, un taux de vaccination du cheptel au-dessus de 90%, et la création de 133 associations rurales. Concernant les infrastructures, le projet a même dépassé 100% des réalisations prévues. Grâce aux investissements en faveur de l'infrastructure et du développement rural, les bénéficiaires du projet ont connu des améliorations dans leur vie quotidienne. Ces réalisations ont eu un impact positif sur les individus, les ménages, les communautés villageoises, les communes et la Région du Sud dans son ensemble. Des changements ont également pu être constatés à plusieurs niveaux : les attitudes et comportements sociaux, les techniques et technologies utilisées, le statut économique et la situation financière des ménages et de la zone du projet.

Recommandation: les investissements et les activités de la seconde phase devraient s'inspirer de ceux de la première phase afin d'en reproduire et étendre les effets positifs en matière de réduction de la pauvreté à un plus grand nombre de ménages dans une zone plus vaste.

Suite à donner convenue: le FIDA et la République de Madagascar collaboreront à la seconde phase du projet, qui prendra en compte les acquis de la première phase du PHBM.

Qui sont les bénéficiaires ?

L'ensemble de la population de la zone cible de la phase I du projet, estimée à 4 400 ménages ou 28 000 personnes, a tiré des avantages du projet. De nombreux ménages et individus en ont bénéficié de manière directe en termes de revenu et de disponibilité alimentaire, grâce aux investissements dans les infrastructures d'irrigation, l'élevage et les routes reliant leurs communautés. D'autres ont indirectement bénéficié des activités du projet grâce à une plus grande disponibilité de biens et de services à un coût inférieur, des opportunités d'emploi plus nombreuses, et une participation plus active dans les domaines économique, social et politique.

Les ménages les plus vulnérables sont généralement ceux qui ne possèdent pas de gros bétail ou n'ayant qu'un accès très insuffisant, précaire, voire nul, à des parcelles irriguées de taille suffisante. Au sein des ménages, les individus les plus défavorisés sont les femmes et les jeunes.

Le projet n'a pas cherché à cibler les éléments de la population les plus défavorisés ou vulnérables et il n'a donc pas conçu de mesures spécifiques pour les atteindre. En conséquence, comme on pouvait s'y attendre, il ne semble pas que les ménages relativement plus vulnérables ou défavorisés aient tiré un majeur profit du projet par rapport aux autres membres de la population. Cependant, même si ce sont les propriétaires de bovins, de parcelles irriguées et les hommes adultes en général qui ont bénéficié le plus du projet, il n'est pas non plus prouvé que ces avantages aient été uniquement ni volontairement destinées aux gens aisés.

Recommandation: Une nouvelle méthodologie d'identification et sélection des actions devra être proposée pour la deuxième phase du projet. Des investissements et des activités conçus explicitement pour atteindre les ménages vulnérables devraient être inclus dans la seconde phase du projet, ainsi que des fonds suffisants pour leur financement. La culture pluviale, les activités génératrices de revenus (AGR) et le petit élevage devraient être considérés comme des domaines déterminants pour répondre aux besoins de ces groupes cibles.

Suite à donner convenue: Le Gouvernement de Madagascar et le FIDA s'assureront que la deuxième phase inclura des investissements et des activités relatifs à la culture pluviale, au petit élevage ainsi que toute autre AGR relevant des couches les plus vulnérables (femmes, paysans sans terre, jeunes).

Dans toute la zone du projet, le fait d'être analphabètes et de ne pas savoir compter empêche un grand nombre d'individus de tirer le meilleur parti de leur potentiel productif et d'exploiter des opportunités. Ils sont particulièrement défavorisés dans les domaines liés à l'information et à la négociation lorsqu'il s'agit de vendre leur production auprès de commerçants qui disposent à la fois d'un plus grand nombre d'informations, connaissances et savoir-faire. Quels que soient leur richesse ou leurs biens, tous les habitants de la zone du projet qui sont analphabètes ou savent à peine compter sont vulnérables et souffrent d'une forme de pauvreté humaine qui les dévalorise socialement et limite leur potentiel d'épanouissement et de développement personnels.

Recommandation: Les ressources publiques tant humaines que financières allouées à l'éducation de base dans toute la zone du projet devraient être augmentées. De plus, il est essentiel que le projet et le gouvernement s'attachent davantage à alphabétiser les adultes, ce qui contribuera à réduire durablement la pauvreté. <

Suite à donner convenue: La deuxième phase devra inclure une composante alphabétisation et éducation de base à la hauteur des problèmes actuels. Le Gouvernement devra s'engager à affecter les ressources humaines, matérielles et financières nécessaires aux écoles. Un programme d'alphabétisation devra être mis en place à la demande des communautés en faisant recours à des prestataires expérimentés.

Dans la zone actuelle du projet, les femmes ont désigné l'eau potable et les services de santé comme étant des domaines essentiels auxquels le projet devrait prêter attention si l'on veut mieux répondre à leurs besoins. Elles ont également exprimé le souhait de bénéficier d'un appui pour former des organisations féminines.

Recommandation: L'accès à l'eau potable et aux services de santé de base devrait être considéré comme un facteur essentiel de réduction de la pauvreté dans la zone du projet, et comme un des moyens de cibler spécifiquement l'assistance au profit des femmes.

Suite à donner convenue: Le Gouvernement devra mobiliser les institutions publiques et extérieures pour qu'elles l'aident à améliorer ces services. La deuxième phase du projet appuiera à la demande communautaire d'éventuels investissements dans les infrastructures d'alimentation en eau potable avec des mécanismes de mobilisation sociale sous-jacentes, en vue de leur gestion par les utilisateurs mêmes. Ces investissements identifiés à la base seraient financés en partenariat avec d'autres sources de financement existantes (FID/FDC, UNICEF, etc.).

Lorsqu'ils manquent de compétences ou ont un accès limité aux ressources, les jeunes sont particulièrement pauvres et vulnérables. Le fait d'être analphabète contribue à accentuer les difficultés que les jeunes rencontrent pour trouver un emploi ou se consacrer avec succès à un travail indépendant dans l'agriculture ou dans des activités économiques connexes dans la zone du projet.

Recommandation: Les jeunes de la zone du projet devraient avoir accès à l'alphabétisation fonctionnelle et à la formation technique. Un certain nombre d'activités d'éducation, de formation et de loisirs devraient être considérées pour lutter contre le sous-emploi et le désœuvrement des jeunes. Par ailleurs, l'amélioration de la vie à la campagne (sport, distraction, électrification) constituera une motivation pour éviter l'exode rural et favoriser le retour des jeunes en milieu rural.

Suite à donner convenue: Le Gouvernement s'efforcera de sensibiliser les institutions publiques compétentes aux problèmes des jeunes afin de mobiliser un soutien en faveur de leur alphabétisation et de leur formation technique. La deuxième phase du projet devra appuyer des actions visant l'accès des jeunes à la formation leur permettant d'entreprendre des activités génératrices de revenus telles que petit élevage, horticulture, coupe et couture, transformation des produits agricoles et autres possibilités d'emploi ayant un potentiel dans la zone du projet.

Quels ont été les principaux changements vécus ?

Outre les effets bénéfiques aux multiples facettes, le projet dans sa phase I a privilégié la riziculture irriguée par rapport aux cultures sèches, cela a pour corollaire l'absence d'alternative en cas de mauvaises récoltes issues de la culture irriguée.

Recommandation: Dans sa seconde phase, le projet devrait appuyer la diversification des cultures dans les champs irrigués et la recherche d'un équilibre entre culture irriguée et culture pluviale.

Suite à donner convenue: La deuxième phase devrait prévoir des investissements et des activités visant appuyer la culture pluviale et la diversification dans les zones irriguées.

La recrudescence des vols de zébus est un des phénomènes vécus par les populations dans la zone du projet pendant sa mise en œuvre. Ce problème a un effet préjudiciable dans toute la zone du projet. Il crée une instabilité sociale et économique freinant ou entravant des importants progrès escomptables.

Recommandation: Il faut prendre des mesures énergiques pour remédier au problème des Malaso. On pourrait commencer par une analyse minutieuse des causes de ce phénomène, puis définir les mesures les mieux adaptées pouvant être prises par le projet ou par d'autres acteurs pour les combattre.

Suite à donner convenue: Le Gouvernement, par l'intermédiaire du projet ou par d'autres moyens, entreprendra une étude approfondie pour analyser dès que possible le problème de la recrudescence des vols de zébus dans la zone du projet.

En l'absence de formes organisées pour mettre en sécurité son épargne et pour des raisons sociologiques spécifiques au Sud, les ménages ont tendance à épargner une partie de leur accroissement de revenu en nature sous forme de zébus. L'accroissement du nombre de zébus peut potentiellement : i) augmenter la vulnérabilité des ménages pris individuellement en cas de vol d'animaux ; ii) contribuer à la dégradation de l'environnement en augmentant la pression exercée sur les pâturages ; et iii) réduire les possibilités de croissance économique en immobilisant des capitaux d'investissement de manière improductive.

Recommandation: Il faudrait sensibiliser les éleveurs et les agriculteurs à ces problèmes et les aider à trouver des solutions pour sécuriser leur épargne.

Suite à donner convenue: Le projet continuera à travailler avec les propriétaires de bétail par l'intermédiaire des AEL afin de les sensibiliser à ces problèmes. La deuxième phase prévoira également des actions visant diversifier et faire fructifier l'épargne accumulée grâce à la rentabilité accrue de la production agricole.

Le projet a pris un certain nombre d'initiatives pour aider les producteurs agricoles à accéder à tous les biens et services dont ils ont besoin pour tirer parti des investissements réalisés par le gouvernement dans la zone du projet. Cependant, dans certains cas, il s'est malencontreusement substitué au secteur privé et a donc freiné sa croissance.

Recommandation: Il faut créer un environnement porteur pour favoriser la croissance des fournisseurs de biens et de services du secteur privé et renforcer les synergies entre les associations de producteurs et les filières de commercialisation.

Suite à donner convenue: Le projet, pour sa phase actuelle, et pour sa phase future, mettra l'accent sur les divers moyens d'encourager les agents du secteur privé, sans les remplacer ni les concurrencer, en améliorant par exemple l'information et l'infrastructure de transport.

La présence du projet a modifié la répartition du travail et les rôles des hommes et des femmes dans la zone desservie, généralement en mieux. Il apparaît que les hommes tendent à s'associer aux activités économiques fructueuses entreprises par les femmes. Cette tendance représente une réorganisation rationnelle de la main-d'œuvre familiale, mais il importe de s'assurer que les hommes ne s'approprient pas entièrement de ces activités et ses revenus, alors qu'ils étaient auparavant gérés par les femmes.

Recommandation: Il faut s'intéresser davantage à la manière dont les changements concernant les rôles des hommes et des femmes et leurs rapports adviennent dans le domaine de l'activité économique. Il faut continuer à soutenir les femmes en tant que groupe cible spécifique pour s'assurer que les changements induits par le projet ne vont pas à l'encontre de leurs intérêts pour ce qui est de leur accès aux ressources et aux revenus.

Suite à donner convenue: La deuxième phase prévoira le soutien à l'émergence et au développement des associations de femmes réation d'associations de femme en réponse à leur demande d'assistance dans ce domaine. Le projet mettra aussi davantage d'accent sur le suivi de l'impact du projet sur les femmes et utilisera les informations recueillies pour orienter la planification pendant l'exécution.

Quel est le niveau d'organisation et de structuration du monde rural ?

L'organisation des paysans autour de l'utilisation et la gestion de l'infrastructure et de leurs domaines communs d'activités économiques a pris un bon départ. Cependant, de nombreuses associations sont encore relativement faibles. Par ailleurs, l'approche adoptée par le projet pour travailler avec les associations pourrait ne pas déboucher sur le type d'autonomie souhaitable, ce qui peut être attribué, parmi d'autres facteurs, au faible niveau d'éducation, à l'insuffisance de la formation, de l'appui technique et du contact avec le personnel de terrain.

Recommandation: Les associations devraient bénéficier d'un soutien plus intensif pendant la période suivant leur création, et ce soutien devrait être poursuivi pendant deux ans au moins. L'appui apporté aux associations devrait faciliter leurs initiatives mais ne pas s'y substituer.

Suite à donner convenue: La deuxième phase du projet devra prévoir des fonds suffisants pour le personnel, le matériel, les approvisionnements et les fonds d'exploitation afin d'apporter un soutien plus important aux associations nouvelles ou récemment créées, à un niveau d'intensité leur permettant d'être suffisamment solides pour survivre sans le projet. Celui-ci devrait revoir l'approche adoptée pour travailler avec les associations afin de s'assurer qu'il appuie les initiatives prises par les gens mais ne s'y substitue pas. A titre d'exemple, il pourrait envisager de déléguer aux groupements davantage de pouvoir de décision et d'autorité en ce qui concerne l'utilisation des ressources.

Logiquement, la création, à plus ou moins brève échéance, d'organisations faîtières de diverses organisations de base déjà appuyées lors de la première phase, est l'étape future qui renforcera le pouvoir de ces groupements et leur utilité auprès de leurs membres et de la société, en tant qu'interlocuteurs du gouvernement, de la société civile et du secteur privé. Certains signes indiquent déjà que certaines associations pourraient évoluer dans ce sens. Cependant, la plupart d'entre elles doivent encore déployer des efforts pour que leur fonctionnement interne soit suffisamment solide et que leur direction ait la clairvoyance et la capacité nécessaires pour prendre des initiatives propres pour travailler avec d'autres associations en vue de former de potentielles fédérations. Une telle création d'organisations faîtières doit être laissée à la demande des organisations de base et répondre à un réel besoin ; elle ne peut être forcée ou accélérer au risque de construire des structures non appropriées et inefficaces.

Recommandation: Les initiatives visant à encourager les associations existantes à constituer une fédération devraient être destinées à faciliter plutôt qu'à diriger. Une réflexion devrait être engagée avec les associations existantes afin qu'elles déterminent elles-mêmes l'opportunité de créer des fédérations et quelles seraient leurs caractéristiques et fonctions.

Suite à donner convenue: La deuxième phase prévoira la possibilité d'aider les associations existantes à s'organiser en fédérations pouvant avoir un impact au niveau du développement régional, sans arrêter de calendrier pour ces initiatives ni d'objectifs quantitatifs quant au nombre d'associations visées ou de fédérations constituées. Des possibilités d'échanges avec d'autres organisations se trouvant dans la zone du projet ou à l'extérieur devront être envisagées, notamment du point de vue budgétaire.

Quelles sont les recommandations exprimées par les bénéficiaires ?

Les bénéficiaires ont été généralement très satisfaits des résultats obtenus et ont estimé que le projet avait pris leurs besoins et leurs idées en considération. Lorsqu'il leur a été demandé de formuler des recommandations à l'intention du projet, ils ont insisté sur trois principaux points : i) le problème que représentent les vols de zébus ; ii) l'insuffisance de l'encadrement (faible fréquence des visites due à l'insuffisance de moyens humains et matériels, conjuguée au manque de temps) ; et iii) les limites de la formation fonctionnelle (inadaptée pour certains, insuffisante pour d'autres). Ces trois points ont été traités plus haut comme l'ont été la plupart de leurs autres préoccupations.

Par ailleurs, s'agissant de ce que le projet devrait faire, les bénéficiaires ont recommandé qu'à l'avenir, l'accent soit mis sur quatre principaux domaines : l'infrastructure, les services sociaux, l'éducation et l'élevage. Ils ont ajouté l'eau potable comme nouveau domaine d'infrastructure nécessitant des investissements. S'agissant de la manière dont le projet devrait fonctionner, les bénéficiaires ont insisté sur la nécessité d'intensifier l'interaction entre le personnel de terrain et les associations paysannes. Ils ont préconisé d'améliorer et de renforcer la liaison avec le projet.

Recommandation: Le Gouvernement et le FIDA devraient prêter une attention particulière aux recommandations des bénéficiaires pour la conception de la seconde phase.

Suite à donner convenue: La mission de pré-évaluation prendra attentivement en considération les recommandations formulées par les bénéficiaires lors de la mission d'évaluation intermédiaire. La deuxième phase du projet devra prévoir un dispositif de suivi de l'information en retour sur le projet fournie par les bénéficiaires, afin de l'utiliser pour prendre les décisions de gestion concernant l'exécution.

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